ETUDIER
POUR PARTAGER
Maitrise d'Anglais
22 ans d'expérience
Les prémices
J’ai toujours aimé partager, transmettre des connaissances. La connaissance, c’est un domaine vaste qui semble n’avoir pas de fin, mais elle est essentielle. Elle peut même sauver la vie !
C’est pourquoi, j’ai été très jeune attirée par le métier d’enseignante ou formatrice. Mais enseigner quelle matière ?
J’aime entre autres la musique et les langues étrangères : Parler plusieurs langues facilite d’ailleurs le partage, les échanges, ainsi que les relations avec les autres, et j’ai un intérêt particulier pour la musique car enfant j’ai joué du piano pendant plusieurs années.
Une fois bachelière, j’ai entendu parler d’une école à Barbade qui accueillait les étrangers. Je m’y suis inscrite et j’ai terminé mon année scolaire brillamment. J’ai donc décidé d’étudier l’anglais ce qui répondait d’ailleurs à plusieurs de mes besoins et objectifs personnels et professionnels. Plus tard, j’ai été étudiante ERASMUS à Londres et ai préparé ma maîtrise d’anglais.
De retour en Martinique pendant une année, j’ai eu l’occasion d’être formatrice d’anglais dans un centre de langues pour adultes. Expérience très enrichissante ! J’ai même été encouragée par de nombreux élèves à ouvrir ma propre école. La graine qui allait donner naissance au projet venait d’être plantée.
« … La graine qui allait donner naissance au projet venait d’être plantée. »
Mon amour pour les langues étrangères est partagé
Je suis retournée m’installer à Londres et j’y suis restée quelques années. J’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari et qui tout comme moi est un vrai passionné des langues étrangères.
J’y ai travaillé comme responsable d’un centre de formation et j’ai aussi suivi une formation d’interprète pour les services publics anglais.
Quand je suis retournée vivre en Martinique, mon mari et moi avons donc souhaité ouvrir un centre de langues mais les circonstances n’étant pas favorables, j’ai travaillé comme formatrice d’anglais à la Chambre de Commerce de Martinique et la même année j’ai réussi au concours de professeur des écoles.
En tant que professeur des écoles, j’ai bien sûr enseigné l’anglais. Je repense à un projet de voyage linguistique qu’une collègue et moi-même avons mené à terme : 3 classes de CM1 et CM2 ont pu vivre une expérience inoubliable à la Barbade pendant une semaine.
« Mon mari et moi avons donc souhaité ouvrir un centre de langues… »
Un nouvel amour…
Par la suite, j’ai été enseignante pendant 9 ans au CP.
Enseigner à des jeunes enfants m’a permis d’expérimenter de nouvelles manières de transmettre la connaissance. J’ai maintenant une affection particulière pour l’enseignement de la lecture et des mathématiques au cycle 2. Les jeux mathématiques d’ailleurs préconisés par la méthode ERMEL de l’INRP (Institut National de Recherche Pédagogique) sont très efficaces. J’ai aussi appliqué les méthodes neuro pédagogiques utilisées pour enseigner l’anglais à l’enseignement de la lecture. En effet, chaque année j’ai été confrontée à des élèves en délicatesse avec les apprentissages ou ayant de sérieuses difficultés.
Face aux profils multiples de mes élèves, j’ai redoublé d’imagination et utilisé des jeux pédagogiques différents pour prendre en compte les difficultés de chacun et bâtir sur leurs intelligences multiples. Le moment de l’Activité Pédagogique Complémentaire (APC) était le moment idéal pour expérimenter des méthodes ludiques et kinesthésiques. La majorité d’entre eux pour ne pas dire pratiquement tous ont progressé et ont rapidement rattrapé leur retard.
J’aime à dire que mon plus beau cadeau, mon véritable salaire c’est de voir mes élèves progresser. Il n’y a en effet rien de plus gratifiant !
Un aboutissement logique
Encouragé par la réussite de mes élèves, mon intérêt pour les neurosciences cognitives n’a cessé de grandir et j’ai cherché des moyens divers de stimuler les différentes formes d’intelligence des enfants ou tout au moins à les aider à découvrir leur potentiel.
De retour en Martinique après 3 années passées à l’étranger et enrichie par de nouvelles expériences, de nouvelles questions se sont posées quant à mes objectifs personnels et professionnels.
L’Education Nationale ne me permettant plus d’atteindre l’ensemble de ces objectifs, il était temps de faire pousser la graine plantée 22 ans plus tôt.
Mes formations tant dans l’enseignement des langues que dans les méthodes sensorielles et kinesthésiques, mon intérêt pour l’éducation musicale dans le développement cognitif et comme moyen de remédiation, ainsi que ma formation à la méthode Tomatis, sont les terreaux qui ont donnés naissance à Cognitiv’Ateliers.
La méthode Tomatis est une approche naturelle de stimulation neurosensorielle auditive. S’appuyant entre autre sur celle-ci, le Centre Cognitiv’Ateliers met l’accent sur l’apprentissage de la lecture, des langues étrangères et le développement de l’esprit logique auprès de tous les enfants, y compris ceux présentant des troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité, des troubles ‘dys’ ou ayant des troubles du langage ou autistique mais aussi auprès de toute personne désireuse d’apprendre une langue étrangère.
Le Centre offre également un environnement faisant appel à une approche pluri-sensorielle où les ressources intellectuelles de tous peuvent s’épanouir. Le Centre Cognitiv’Ateliers répond ainsi aux besoins des enfants jusqu’aux séniors.
« … il était temps de faire pousser la graine plantée 22 ans plus tôt. »
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